samedi 4 avril 2015

Quand la barrière de la langue est un obstacle au plaisir de la découverte


Florence Tison écrivait dans La Presse en décembre 2013 «La généalogie est une forme d’histoire qui nous touche de près. Des généalogistes peuvent évidemment fouiller pour nous, mais nous pouvons nous réserver le plaisir de la découverte.»
http://plus.lapresse.ca/screens/4d26-bdc0-52ab5f00-995b-5a0aac1c606d|_0.html

Il est vrai que rien n'égale le plaisir de la découverte. Au Québec, nous avons cette chance de pouvoir faire le travail soi-même, en ligne ou encore en se rendant dans une société de généalogie. Toutefois, quand il est question de l'Europe, le système de l'état civil et sa tenue varie d'un pays à l'autre; et dans un même pays, il peut varier d'une période historique à une autre et même d'une région à une autre.

Un élément non négligeable de la tenue des registres est la langue dans laquelle ils sont rédigés, incluant parfois le latin pour les registres paroissiaux catholiques. Il devient alors presque impossible de faire toute la recherche soi-même. Non seulement, leur compréhension exige une certaine maîtrise de la langue, mais également celle du jargon utilisé par les officiers d'état civil.

Dans ce cas, faire affaire avec un généalogiste agréé s'avérera une solution qui fera épargner temps et argent à celui qui désire retracer ses ancêtres à l'étranger.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire