Quand la barrière de la langue est un obstacle au plaisir de la découverte


Florence Tison écrivait dans La Presse en décembre 2013 «La généalogie est une forme d’histoire qui nous touche de près. Des généalogistes peuvent évidemment fouiller pour nous, mais nous pouvons nous réserver le plaisir de la découverte.»
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Il est vrai que rien n'égale le plaisir de la découverte. Au Québec, nous avons cette chance de pouvoir faire le travail soi-même, en ligne ou encore en se rendant dans une société de généalogie. Toutefois, quand il est question de l'Europe, le système de l'état civil et sa tenue varie d'un pays à l'autre; et dans un même pays, il peut varier d'une période historique à une autre et même d'une région à une autre.

Un élément non négligeable de la tenue des registres est la langue dans laquelle ils sont rédigés, incluant parfois le latin pour les registres paroissiaux catholiques. Il devient alors presque impossible de faire toute la recherche soi-même. Non seulement, leur compréhension exige une certaine maîtrise de la langue, mais également celle du jargon utilisé par les officiers d'état civil.

Dans ce cas, faire affaire avec un généalogiste agréé s'avérera une solution qui fera épargner temps et argent à celui qui désire retracer ses ancêtres à l'étranger.

Lucien MARTINELLI, de Florence, sculpteur

Nous n'avons pu encore vérifier l'origine de Lucien MARTINELLI. Nous avons cherché son baptême au baptistère de Florence entre 1833 et 1839 et n'avons rien trouvé de concluant. 

Il faut préciser que Lucien MARTINELLI donne 55 ans d'âge au recensement 1881 alors qu'il révélait avoir 33 ans au recensement 1871 et 58 au recensement 1891. Il est donc possible que ce Toscan vienne d'un village de la province de Florence plutôt que de Florence même.

Lucien MARTINELLI, fils de Toussaint et de Maria FIORA, épouse Émilie Marcotte le 4 février 1862 à Sorel. Les parents de l'épouse habitent Kingston en Ontario.

Extrait du registre de la paroisse St-Pierre de Sorel.

Le couple quitte le Québec pour vivre à Kingston, quartier Sydenham, où on les retrouve au recensement 1871, 1881 et 1891. Lors de ce dernier recensement Lucien est veuf. ▪︎

Extrait du recensement du Canada de 1871.

Lien vers un 2e article à son sujet.